Le projet de l’Entreprise Sentimentale (ES) est d'offrir aux entreprises le moyen de réaliser rapidement des sauts de performance très significatifs et de faire nettement plus de bien à tous les hommes et femmes qui lui sont liées. Seule cette double ambition est porteuse de sens et de performance.
Pourquoi faudrait-il innover ?
Croyances limitantes
Toute croyance est pernicieuse. Enfouie en nous on ne la détecte pas et on ne la remet pas en cause spontanément. Revisiter délibérément les croyances de l'entreprise permet de dépasser ses croyances limitantes pour gagner. Prenons l'exemple de la cigale et de la fourmi...
Cette fable, comme ses semblables, apprise par cœur dès le plus jeune âge, illustre l'influence des croyances limitantes. Selon Jean de la Fontaine, la cigale, frivole et dépensière comme pas deux, ne peut sombrer que dans la misère, tandis que la fourmi, prudente et économe, est appelée à croître tristement dans l’opulence.
Cette fable a instillé la croyance de la nécessaire alternative, celle de devoir choisir entre cigale ou fourmi. Avec ses « morales de l’histoire », l'auteur, célèbre 'chroniqueur' du 17ème siècle, décrit un monde binaire où n'existent jamais de personnages hybrides, ni de troisième voie.
Nous croyons que combiner les forces supposées opposées, comme la raison et la passion peut améliorer rapidement et durablement les performances tout en faisant du bien. Cette croyance du ET, du combinable, de l'hybride est l'essence même de l’Entreprise Sentimentale.
Le monde qui nous entoure apporte jour après jour la preuve d'une diversité de succès disruptifs qui battent en brèche ces croyances limitantes répandues en entreprise. L'entreprise sentimentale dans son Blog sur l'Usine Nouvelle et dans ses vidéos et podcasts bouscule plusieurs croyances courantes.
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Lors de l'acquisition d'une start-up, il faudrait "se soumettre ou se démettre " ? Non, un autre mode de relation existe
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Pour réduire les coûts, il faudrait "souffrir pour être belle" ? Non, le goût pour la frugalité est possible
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Dans la concurrence internationale, "le plus fort gagnerait toujours" ? Non, le plus habile l’emporte souvent
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En matière d'investissement "en temps de crise on n'investit pas" ? Si, cela peut être le moment
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Un leader "maîtriserait ses émotions" ? Non, ce sont l'authenticité et la sincérité qui emporteraient l’adhésion
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Pour un salarié, il faudrait "choisir entre liberté ou sécurité" ? Non, les 2 sont souvent possibles